Vendredi 5 janvier
5
05
/01
/Jan
09:19
Voici une petite liste de mes pratiques et fantasmes :
Où se cache le plaisir?
| Actions |
Expériences |
Refuse |
Accepte valeur de 1 à 5
|
| Baillons |
X |
|
5 |
| Barre d'écartement |
X |
|
3 |
| Bandeau yeux |
X |
|
4 |
| Bondage léger |
X |
|
5 |
| Bondage lourd |
|
|
3 |
| Cage |
X |
|
4 |
| Camisole de force |
|
|
3 |
| Cage de chasteté |
X |
|
4 |
| Cire |
X |
|
2 |
| Collier privé |
X |
|
5 |
| Collier public |
|
|
2 |
| contrôle orgasme |
X |
|
3 |
| Cravache |
|
|
2 |
| Exhibitionnisme privé |
|
|
3 |
| Exhibitionnisme public |
|
X |
|
| Fellation (donner) |
|
X |
|
| Fellation (recevoir) |
X |
X |
|
| Fessée |
X |
|
2 |
| Fisting anal |
|
X |
|
| Fouet |
|
X |
|
| Giffles |
X |
|
2 |
| Harem (avec autres soumis) |
X |
|
4 |
| Homosexualité |
|
X |
|
| Humiliation privée |
X |
|
4 |
| Humiliation publique |
|
X |
|
| Interrogatoire |
|
|
3 |
| Lavement |
X |
|
1 |
| Lingerie |
X |
|
3 |
| Lutte |
|
|
2 |
| Martinet |
X |
|
1 |
| Masturbation imposée |
X |
|
3 |
| Menottes cuir |
X |
|
4 |
| Menottes métal |
X |
|
5 |
| Mise aux enchères |
|
|
3 |
| Momificatin |
|
|
4 |
| Nudité imposée |
X |
|
3 |
| Obéir aux ordres |
X |
|
3 |
| Piercing |
|
X |
|
| Photographie (masqué) |
X |
|
4 |
| Pinces seins |
X |
|
5 |
| Poids seins |
X |
|
2 |
| Posture humiliante |
X |
|
4 |
| Rasage corps |
|
X |
|
| Rasage tête |
|
X |
|
| Relation sexuelle |
X |
X |
|
| Restriction auditive |
|
|
3 |
| Restriction visuelle |
X |
|
3 |
Servir, soubrette
|
X |
|
4 |
| Sexe anal (petit) |
X |
|
3 |
| Sexe anal (gros) |
|
X |
|
| Torture partie génitales |
|
|
2 |
| Travestissement |
X |
|
4 |
| Urologie |
X |
|
1 |
| Scatologie |
|
X |
|
| Zoophilie |
|
X |
|
Par bobby
-
Publié dans : bobbysoumis
0
Jeudi 4 janvier
4
04
/01
/Jan
17:05
Par bobby
-
Publié dans : réflexions diverses
0
Jeudi 4 janvier
4
04
/01
/Jan
12:55
Toujours dans les année 87/88, j'ai rencontré à plusieurs reprises Maîtresse Joëlle à Paris.
Voici le récit de ma 1ère entrevue.
Je sonne à la porte. Alors que je m'attends à voir une magnifique dame m'ouvrir, quelle n'est pas ma déception de voir une vieille servante m'accueillir. De plus, celle-ci sait certainement ce que je suis et ce qui m'attend, ce qui rajoute à mon humiliation.
Elle m'invite donc à entrer et à patienter au salon, retournant vaquer à ses occupations. Ne sachant quelle attitude adoptée, j'attends debout au milieu de la pièce.
-"bonjour", une voix rauque dans mon dos me surprend.
Je me retourne et découvre Maîtresse Joëlle, superbe et grande dominatrice, brune aux cheveux bouclés.
-"A genoux, suis moi". J'obéis sans réfléchir. Elle me fait entrer dans une pièce, son Donjon.
Mes yeux s'écarquillent devant tous ces objets, aurai je le plaisir de goûter à tout cela?
-"Déshabilles toi et viens à mes pieds!...à genoux!" Je n'ai pas le temps de réfléchir, j'obéis.
A peine devant elle, un collier enserre mon cou et je me retrouve attaché à la croix de St-André. Ne pouvant plus offrir aucune résistance, mon sexe avouant mon état, Maîtresse en profite pour me questionner. Satisfaite de mes réponses, me voici baîlloné, désormais à son entière disposition.
Et elle ne manque pas d'imagination, impossible de cacher mon état d'excitation, ce qui l'amuse beaucoup.
Une sonnette retentit. Certainement mon remplaçant. Dommage.
En effet, Maîtresse ne tarde pas à me détacher, mais...une laisse est fixée à mon collier.
-"A 4 pattes, suis moi!" Ai je le choix?
Elle ouvre la porte, nous sortons de la pièce. La honte m'envahit. La vieille peut me voir ainsi, et la personne qui a sonné, où est elle?
Heureusement nous traversons un couloir sans rencontrer âme qui vive.
Maîtresse ouvre une autre porte. Il s'agit d'un petit cagibis avec...une cage au fond.
-"Entres là dedans et sois bien sage!" dit elle en menottant mes poignets aux barreaux et attachant la laisse au barreau supérieur. Je suis donc obligé d'attendre à genoux avec trés peu de possibilités de mouvement et sans savoir pour quelle durée.
Peu à peu mon sexe perd de sa superbe, quelqu'un a certainement dû récupérer MA place et je vais donc attendre son départ. La position est inconfortable, sans repère dans le temps, tout ceci semble une éternité.
Enfin la porte du cagibis s'ouvre.
-"Alors gentil toutou, tu as été bien sage" se moque t elle en ouvrant la cage, me libérant et reprenant la laisse en main.
-"Suis moi, à 4 pattes". elle tire violemment sur la laisse et je me retrouve nez contre le sol.
-"Puisque tu demandes gentiment, tu peux me lècher les chaussures" toujours moqueuse approchant ses bottines de ma bouche.
-"Ca suffit, avances!!"
Nouvelle traversée du couloir, toujours la crainte de rencontrer la servante dans cette position, mais bizarrement mon sexe reprend un peu de vigueur.
Enfin, elle ouvre la porte du donjon mais...il y a un homme attaché à MA place sur la croix.
Nos regards se croisent, nous baissons rapidement les yeux, certainement aussi honteux et humiliés l'un que l'autre. Celui ci est plus âgé que moi, plus chétif aussi mais certainement plus expérimenté.
Là Maîtresse me menotte les mains dans le dos, reliées aux chevilles également dans le dos, baillon gode dans la bouche et pinces aux seins.
-"Regardes comme c'est bon!"
Elle me laisse ainsi pendant qu'elle va s'occuper de l'autre. Mon sexe gonfle, je voudrais être à sa place. Mais elle va m'abandonner ainsi pendant qu'elle s'amuse. Peut être y aura t il une suite?
Par bobby
-
Publié dans : bobbysoumis
0
Mercredi 3 janvier
3
03
/01
/Jan
16:39
Qui domine les autres est fort. Qui se domine est puissant...
Domination signifie la chance de trouver des personnes déterminées prêtes à obéir à un ordre de contenu déterminé.
Il n'y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir sinon nos pensées...
Par bobby
-
Publié dans : réflexions diverses
1
Mercredi 3 janvier
3
03
/01
/Jan
16:34
Durant quelques temps je vis à plusieurs reprises Maîtresse Delphine.
Plus ou moins régulièrement suivant mes engagements sentimentaux de l'époque. Parfois même en dehors de toute relation bdsm, simplement amicalement, dommage que je n'ai pas eu le courage (je l'avoue) à l'époque d'envisager une relation plus durable, nous avions une certaine connivence.
Ce que je retiens de toute cette période, c'est d'intenses moments de plaisirs et de découvertes.
J'ai ainsi eu la joie de découvrir ce que l'on pouvait faire avec un espalier, à son domicile.
J'ai gouté aussi à ma 1ère cage, quel bonheur d'être encagé, pendant que sa Maîtresse s'occupe d'autres esclaves. Maîtresse Delphine était trés bien équipée; croix, pilori, cage...
Mais aussi, j'ai eu le trés grand plaisir de renverser les rôles. Comme je le disais il y avait une grande complicité entre nous, et c'est sans difficulté que Dominique accepta de passer sous mes ordres pour une séance.
Elle goûta ainsi à ses joujoux. Je lui fis tout essayer, collier, menottes, croix, bien sûr tout son assortiment de godes mais ce que je pris le plus de plaisir à lui fire tester, ce fut son pilori. Elle pliée en 2, cou et poignets pris dans son carcan et tout son corps à mon entière disposition. Le pilori est vraiment un objet de soumission extraodinaire, à essayer absolument.
Avertissement pour vous Maîtresses qui lisez ceci, sachez que votre Maître n'est jamais bien loin de votre esclave.
Par bobby
-
Publié dans : bobbydomi
1
Mardi 2 janvier
2
02
/01
/Jan
17:22
Chers lecteurs inconnus, dites moi
qui êtes vous?
Par bobby
-
Publié dans : réflexions diverses
2
Lundi 1 janvier
1
01
/01
/Jan
07:39
20 ans déjà, je rentrais d'Afrique, j'avais 25ans, je sentais qu'il fallait que je découvre ce qui me hantait tant.
A l'époque, il n'y avait pas internet et toutes ses facilités de
rencontres. Mais j'avais réussi à trouver une annonce concernant une Maîtresse sur Toulon. Celle-ci deviendrait donc mon initiatrice, et bien plus que ça, une sorte de fil d'Ariane que je retrouverai au fil des ans et des aventures (nous la recroiserons donc).
Elle se faisait appeler Delphine, mais se prénommait Dominique (était ce donc son destin) et exerçait Quartier La Rode à Toulon. Je m'en souviens comme si c'était hier.
J'avais pris RDV à 15h mais 30mn plus tôt j'étais devant sa porte. Je savais que je devais attendre. Mon coeur battait la chamade, je commençais à transpirere, c'était au mois de juin et le temps trop chaud ne m'aidait pas.
Enfin je pu sonner, une voix ferme m'indiqua l'étage et m'ordonna de monter. Arrivé au palier une porte était entrebaillée. L'ordre fusa "entre et avance".
De ce fait elle se retrouva derrière moi et je ne pouvais donc voir ma 1ère Maîtresse.
-" A genooux"
Je m'exécutais, encore une première, jamais je n'avais pris cette position. Intérieurement je tremblais, était ce de peur ou de plaisir ou un mélange.
Je sentis un (MON) collier enserrait mon cou. Enfin, que c'était bon. Et je n'avais toujours pas vu Maîtresse Dominique.
-"Déshabilles toi", je ne me fis pas prier. Mon sexe ne montrait pas encore mon excitation intérieure. Une laisse vint se fixer au collier.
-"A 4 pattes" sa voix était à la fois douce et ferme.
Ses bottes se placèrent devant ma bouche
-"Lèches" jamais je n'avais fait cela, serais je à la hauteur?
En s'aidant de la laisse, il me fit remonter la bouche le long de ses jambes, je gardais les yeux baissés, mais peu à peu je la découvrais. De magnifiques jambes, pas grandes mais bien musclées. Au moment où j'allais relever la tête, elle m'arrêta et passa derrière moi. Me banda les yeux et me tira par la laisse à 4 pattes.
-"A genoux, mains dans le dos" j'obtempérais sans peine.
J'entendis le clic caractèristique des menottes, que c'était bon d'ailleurs mon sexe montrait mon plaisir évident.
-"Restes ici et sois sage, je reviens" Avais je une autre solution que d'attendre son bon vouloir, déjà j'étais abandonné.
J'attendais patiemment, mes genoux commençaient à marquer le temps qui s'écoulait. Seuls quelques bruits me parvenaient, pourtant j'étais complétement à l'écoute.
Quelques bruits de voix, une porte qui claque, des pas qui se rapprochent. La sueur coulait sur mon corps (je m'en excuse encore auprès de Maîtresse).
Enfin des doigts parcourent mon corps, s'attardent sur mes têtons que j'ai trés sensibles, descendent jusqu'à mon sexe, s'en amusent, le triturent dans tous les sens. Ces mains douces et cruelles remontent jusqu'à ma bouche.
-"Lèches" je m'efforce de la satisfaire sans montrer ma gourmandise, un doigt puis deux forcent mes lèvres.
-"Suces", c'est bon.
Puis tout s'arrête, de nouveau le silence.
-"Aïe" des pinces s'accrochent à mes seins, elle tire dessus, ça fait mal mais mon sexe indique le contraire (sale traître).
Afin de me faire taire elle me met un baillon boule
-"huummm" j'adore.
Elle s'amuse de mon corps, celui ci est tendu et n'obéit plus à mon cerveau, il essaye seulement d'emmagasiner un maximum de sensations.
Ce" calvaire" dure un moment. Puis elle me détache les menottes et s'empresse de refixer mes poignets devant.
-"Face contre le sol et reste tranquille". Je sens ses mains parcourir mes fesses, puis un doigt s'insinue dans mon petit trou vierge.
S'adressant à je ne sais qui
-"Prends des photos pendant que je l'encule". Ainsi il y a quelqu'un qui est témoin de mon asservissement. Ma honte est totale.
Je sens quelque chose tenter de pénétrer mon cul, mais ça peine, sans doute est ce trop gros.
-"Détends toi" et des claques s'abaissent sur mes fesses, sans doute pour m'aider à assouplir mes muscles.
C'est dur, trop dur et en même temps je voudrais l'aider, je pousse pour qu'elle me prenne totalement.
Elle stoppe ce calvaire, me retire le bandeau.
-"A genoux, branles toi"
Mon sexe n'attend que ça, elle m'aide à la tâche en tirant sur les pinces des seins. Je n'ose relever la tête pour la regarder. totalement concentré sur mon sexe dont elle veut voir jaillir la semence.
-"Jouis dans tes mains" j'obéis sans peine, c'est trop bon.
Enfin je peux la regarder, tout est finit, elle m'aide à me nettoyer et à reprendre une allure "normale".
Puis nous prenons le temps de discuter, j'aperçois le photographe, c'est une femme. C'est elle qui m'a vu me faire humilier par sa copine.
Je détaille Delphine, nous parlons comme de bons copains. Je pense qu'elle doit avoir la trentaine, pas trés grande (environ 1.55M), des seins magnifiques, mince et musclée, une superbe chevelure brune et ondulée. En dehors de son appartement, j'apprécierai certainement d'avoir une discussion avec elle (mais nous en reparlerons).
Si par hasard Delphine (Dominique) tu lis ce texte, fais moi signe, je t'en dirai plus pour me reconnaître.
Si d'autres personnes ont eu l'honneur et la joie d'être à ses pieds, c'est avec plaisir que j'en parlerai avec vous.
Le temps passe si vite, 20 ans déjà...
Par bobby
-
Publié dans : bobbysoumis
1
Samedi 30 décembre
6
30
/12
/Déc
17:19
Aussi longtemps que je me souvienne, j'ai toujours été attiré par des jeux de liens et d'histoires de prisonniers.
Ceci bien avant ma puberté et sans que je sache que cela seraient mes plaisirs d'adulte.
Commençons donc par un rapide retour en arrière très loin dans le temps.
Comme tous les enfants des années 60, j'ai joué aux cowboys et aux indiens et je me souviens encore trés bien de ces moment où le prisonnier (ou
la prisonnière) se retrouvait attaché(e) à un tronc d'arbre.
Ensuite mes premiers émois solitaires où j'ai ressenti mes premiers besoins, trouver un liens permettant de m'attacher pour mes branlettes
d'ados.
Et ma première paire de menottes, achetée lors d'un séjour linguistique en Angleterre.
Vraiment pour moi, les menottes sont les objets de mon fétichisme extrême, je ne peux m'en passer.
Continuons à remonter le temps.
Arriva le temps des 1ers émois et 1ères demoiselles, bien sûr à cet âge là pas question de parler ouvertement de ses fantasmes. Mais je
m'arrangeais toujours pour qu'elles portent de gros bracelets et colliers lors de nos petits jeux érotiques, c'était leurs chaînes à elle. Quand à moi, étant qu'adolescent un brin macho, je ne
pouvais avouer toutes mes envies.
Mais bientôt viendra le temps des vrais relations bdsm...
Peu à peu, j'avançais dans cette découverte de ma sexualité si particulière. A cette époque apparurent les 1ers magazines de type SM. J'en
parcourait une quanitité impressionnante.
Puis je partis 2 ans en Afrique et là ma nouvelle amie eu droit elle aussi à beau collier d'esclave. Jusqu'au jour où je me lâchais enfin et me
décidais de l'attacher de quelques bout de ficelle.
C'était simple mais c'était bon de la voir ainsi offerte à moi. Et surtout j'adorais cette vision et l'esthétisme qu'il en
ressortait.
Une belle esclave noire ficelé de cordes blanches.
Ce fut la première vrai soumise que j'eue, ce ne sera pas la dernière.
Puis vint le temps du retour en France et là je découvris un autre aspect de ces jeux. Mais...ceci est une autre histoire.
Par bobby
-
Publié dans : bobbydomi
-
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